L’Europe
Depuis l’époque de l’antique Rome et la Renaissance, l’Europe n’est pas une zone géopolitique, mais un éternel pôle idéal, pas la somme des races et des peuples, mais une unité spirituelle, si non, elle n’aurait pas surmontée deux super guerres.
Donc il existe une Humanité Européenne qui se base sur des processus psychologiques et culturels et non sur la résidence dans un territoire.
L’Europe n’est pas un endroit est un lieu de rencontre.
Ce n’est pas un hasard si dans le reste du monde, on l’appelle “premier monde” mêmes après quelle n’est plus depuis pas mal de temps, la première puissance économique sur la Terre.
Pour être à dans l’avenir ou on devient nouvelle génération ou bien on est mort.
Ces sont les affinités de connexions humaines, vécu dans la communion, qui ont construit la conscience européenne.
“Les Europe”
Si l’Europe n’est pas un territoire, mais une humanité, donc, n’importe où elle se manifeste c’est Europe.
En prenant conscience de ca donc ces sont LES EUROPES qui existent, l’Europe de l’Union européenne, l’Europe Canada, l’Europe Latino Américaine.
Épicure ne se préoccupait pas seulement de la physique, l’astronomie, la cosmologie, de la poésie, l’éthique, la politique, la logique, les mathématiques – dont aujourd’hui nous en traitons seulement certains – mais il s’est également occupé de la science de l’être et de l’existence.
Épicure voulait une philosophie qui se prenait charge de tout, sans pansophie parce que pour lui la vraie philosophie était la science universelle du cosmos, comme aujourd’hui seraient les relations systémiques de la biosphère.
La philosophie de l’Entier donne lieu aux branches des sciences comme mêmes leur inclusion dans elle.
“… c’est et sera l’inclusion de toutes les sciences depuis et dans la philosophie la véritable naissance DES EUROPES et son caractère unique …”
Qui est dans cette optique, est et sera Europe même si s’appelle France, Canada ou Brésil, et est et sera ecobiohumaine.